Quand est-ce, ô mon Dieu!
que je verrai votre beauté infinie,
et que je vous aimerai face à face?
En paradis, je vous aimerai toujours,
et toujours vous m'aimerez;
nous nous aimerons donc éternellement,
ô mon Dieu, mon amour, mon tout!
Mon Jésus,
quand pourrai je baiser ces plaies
que vous avez souffertes pour moi?
O Marie!
quand est-ce que je me verrai aux pieds
de cette Mère qui m'a tant aimé et tant secouru?
De grâce, ô ma douce Protectrice,
tournez vers moi vos yeux miséricordieux.
Délivrez-moi de ce triste exil,
et montrez-moi Jésus,
le fruit béni de vos entrailles.